isolation entre couches applicatives

• cache la réprésentation interne d'une couche
• permet d'offrir plusieurs représentations externes
• par exemple :
• un modèle de persistence (Bean JPA)
• un modèle de Bean pour une API REST en v1 (binding JAX-RS)
• un modèle de Bean pour une API REST en v2 (binding Jackson)
• un modèle de Bean pour une API SOAP en v1 (binding CXF)
• limiter les contraintes d'un framework à une couche (annotations, serialisation)
• permet de faire évoluer plus facilement les contrats d'interfaces

• map des objets complexes récursivement
• construction dynamique de mapper avec une API Fluent Java
• applatit ou agrandi des structures en mappant des propriétés imbriqués au niveau supérieur et vice-versa
• supporte les proxies et objets enrichis (Hibernate, cglib)
• supporte les convertisseurs spécifiques pour un contrôle total
• supporte les mappings inverses
• mapping bidirectionnel en une seule configuration
• utilise la génération de bytecode pour créer des mappers très rapides

• Commons-BeanUtils : copyProperties
• Dozer (http://dozer.sourceforge.net)
  • utilise la réflexion Java
  • mapping décrit en XML

<dependency>
  <groupId>ma.glasnost.orika</groupId>
  <artifactId>orika-core</artifactId>
  <version>1.4.5</version>
</dependency>

compile 'ma.glasnost.orika:orika-core:1.4.5'

peu de dépendences transitives :

• javassist : générateur de bytecode
• slf4j : framework de traces
• ParaNamer : outil d'extraction des noms de paramètres des méthodes

Démo !

• utilise les noms des attributs et méthodes => attention au refactoring
• ne pas oublier de tester les mappings

• Projet Google Code : http://orika-mapper.github.io/orika-docs/
• Guide utilisateur : https://code.google.com/p/orika/
• code des tests